on the darkest paths i have wandered
across the sinister woods i have made this journey
returning to the primordial beast lost through ages
i have fallen at the footsteps of mine throne
at the blackest domain
through strength nameless i hath risen
and mine eyes do not deceive
encircled by this virgin land
in this blackest sanctuary i subdue
for no swan song shall be heard
with merciless strength the last breath of life escapes my prey
lifeless and stagnant
as silence sways mine surrounding
i have unmade mine foe
eternal and ever mighty in my kingdom
i shall reign where unto no man shall tarnish
where no foot shall step and no man shall breathe
immersed in the iniquity of my being
to prevail through darkness
alone i have become one
for all eternity to come
in the lake of blood
L'obsidienne est une roche de couleur noire et son aspect vitreux absorbe le regard ; mais sous la lumière, elle produit de magnifiques reflets arcs-en-ciel. C'est ce degré de magnificence qu'Obsidian Tongue vise dans A Nest of Ravens in the Throat of Time. Si la production est toujours rugueuse, le duo américain met l'accent sur les mélodies, plus profondes et mélancoliques. Progressives, les pistes se rallongent et se condensent. Un bel opus qui frôle, sans l'atteindre encore, la perfection ! Jordan Vauvert
Silentium! est un split dans lequel figurent trois groupes russes ; ils n'en sont pas à leur coup d'essai et ça s'entend car ils se sont accordés pour créer une sorte de concept album. Depicting Abysm arrache notre silence avec un black metal dépressif beaucoup plus assumé et très émouvant — le meilleur des trois selon moi. Winterbruch se mure dans le silence avec une performance instrumentale progressive de haute volée. Le raw black metal de Gmork nous fait subir le poids du silence. Très bon ! Jordan Vauvert